Journal de Bord 2013

« Les départs donnent souvent l'illusion d'une renaissance » - Jacques LANGUIRAND

Avant de vous dire bonjour de l'Inde, quelle fut notre chance de rencontrer un de ses représentants, M. AMOUDAN. A l'agence de voyage où il travaille, réserver les billets d'avion devenait un vrai plaisir de la rencontre. Avec une grande gentillesse, une disponibilité exceptionnelle et une attention à chacun, il savait nous procurer ces indispensables billets qui nous ouvriraient les portes pour notre future Caravane. Un très grand merci M. AMOUDAN et peut-être à la joie de vous retrouver dans ce pays où vous nous avez facilité les premiers pas.

La neige doucement recouvre la France.

Roissy 11 heures, les 70 Caravaniers sont là heureux de commencer cette merveilleuse aventure de la Caravane Amoureuse en Inde.

Avant l'embarquement et au moment de passer le contrôle sécurité, l’équipage des Emirates forme un cercle serré et se pose quelques minutes comme pour insuffler une énergie positive aux 500 passagers de l'Airbus A 380 en partance pour l’Inde. Les hôtesses sont ravissantes, élégantes avec leur uniforme beige et rouge. Notre avion reçoit un dégivrage et nous nous envolons. Voyage sans incident, dans un luxe et une gentillesse étonnants... Escale à Dubaï vers 3 heures du matin, nous retrouvons nos bagages à Chennaï.

Le journal de bord des enfants

Tout le monde se rejoint à l’aéroport de Charles-de-Gaulle. Tous les caravaniers montent ensemble dans l'avion (un A380). C'était marrant car il y avait des tablettes tactiles au dos des sièges.

Quand on arrive à l'aéroport de Mumbay (Madras ou Chennai)) nous devons passer toutes les sécurités. Les caravaniers qui étaient restés en Inde nous rejoignent devant l'entrée.

Il fait très chaud quand nous sortons. On a du mal à respirer à cause de la chaleur et de la poussière (et l'odeur aussi)... Ensuite nous montons dans des minibus et à l'entrée les chauffeurs nous offrent des jolis colliers de fleurs. Nous avons 3 heures de route, et nous nous ennuyons beaucoup.

Quand nous regardons par la fenêtre du minibus, on voit divers marchands de légumes : pastèques, goyaves, papayes... Il y a plein de palmiers mais le problème est que la région est très polluée.

Et quand on regarde les habitants ils nous regardent très bizarrement parce qu’une fille est blonde et c'est trop marrant.

Camille, Jenna, Paul